Enfin….!!!!
Enfin le week-end! une semaine dure qui s’achève!!!
Jamais autant fatiguée !!!
Du repos j’en ai vraiment besoin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Enfin le week-end! une semaine dure qui s’achève!!!
Jamais autant fatiguée !!!
Du repos j’en ai vraiment besoin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Âme ! être, c’est aimer.
Il est.
C’est l’être extrême.
Dieu, c’est le jour sans borne et sans fin qui dit : j’aime.
Lui, l’incommensurable, il n’a point de compas ;
Il ne se venge pas, il ne pardonne pas ;
Son baiser éternel ignore la morsure ;
Et quand on dit : justice, on suppose mesure.
Il n’est point juste ; il est. Qui n’est que juste est peu.
La justice, c’est vous, humanité ; mais Dieu
Est la bonté. Dieu, branche où tout oiseau se pose !
Dieu, c’est la flamme aimante au fond de toute chose.
Oh ! tous sont appelés et tous seront élus.
Père, il songe au méchant pour l’aimer un peu plus.
Vivants, Dieu, pénétrant en vous, chasse le vice.
L’infini qui dans l’homme entre, devient justice,
La justice n’étant que le rapport secret
De ce que l’homme fait à ce que Dieu ferait.
Bonté, c’est la lueur qui dore tous les faîtes ;
Et, pour parler toujours, hommes, comme vous faites,
Vous qui ne pouvez voir que la forme et le lieu,
Justice est le profil de la face de Dieu.
Vous voyez un côté, vous ne voyez pas l’autre.
Le bon, c’est le martyr ; le juste n’est qu’apôtre ;
Et votre infirmité, c’est que votre raison
De l’horizon humain conclut l’autre horizon.
Limités, vous prenez Dieu pour l’autre hémisphère.
Mais lui, l’être absolu, qu’est-ce qu’il pourrait faire
D’un rapport ? L’innombrable est-il fait pour chiffrer ?
Non, tout dans sa bonté calme vient s’engouffrer.
On ne sait où l’on vole, on ne sait où l’on tombe,
On nomme cela mort, néant, ténèbres, tombe,
Et, sage, fou, riant, pleurant, tremblant, moqueur,
On s’abîme éperdu dans cet immense coeur !
Dans cet azur sans fond la clémence étoilée
Elle-même s’efface, étant d’ombre mêlée !
L’être pardonné garde un souvenir secret,
Et n’ose aller trop haut ; le pardon semblerait
Reproche à la prière, et Dieu veut qu’elle approche ;
N’étant jamais tristesse, il n’est jamais reproche,
Enfants. Et maintenant, croyez si vous voulez !
VICTOR HUGO
« Je traverse une période ou j’ai l’impression que tout se dérobe sous mes pieds, tout ce que je croyais stable acquis devient passé…Je me sens comme un voyageur arrivé au bout de son voyage, un voyage ou tout à était permis, ou les émotions, les rencontres ,les épreuves et les victoires ont était vécu sans limites.…je ressens une sensation de vide celle que l’on ressent après une grosse euphorie, une fois franchi la ligne d’arrivée, une fois que le rêve s’est réaliser et que les festivités sont terminé , cette sensation ou l’on se demande : et maintenant qu’es que je vais faire ?? Qu’elle rêve entreprendre ? La vie ne m’a pas fait de cadeaux mais elle m’a pas trop mise a terre non plus a chaque épreuve j’ai eu une part de bonheur et même si ce vide me pèse , je sais qu’il me reste encore de belles années devant moi et que ce vide, ce vide que je ressens va être rempli …bientôt …d’un nouveau rêve… à réaliser. »
Un texte qui m’exprime…
Parfois j’ai envie que tout disparait devant moi.J’ai envie de disparaitre pour toujours!
Fatiguee je le suis vraiment…
Ô toi d’où me vient ma pensée,
Sois fière devant le Seigneur !
Relève ta tête abaissée,
Ô toi d’où me vient mon bonheur !
Quand je traverse cette lieue
Qui nous sépare, au sein des nuits,
Ta patrie étoilée et bleue
Rayonne à mes yeux éblouis.
C’est l’heure où cent lampes en flammes
Brillent aux célestes plafonds ;
L’heure où les astres et les âmes
Échangent des regards profonds.
Je sonde alors ta destinée,
Je songe à toi, qui viens des cieux,
A toi, grande âme emprisonnée,
A toi, grand coeur mystérieux !
Noble femme, reine asservie,
Je rêve à ce sort envieux
Qui met tant d’ombre dans ta vie,
Tant de lumière dans tes yeux
Moi, je te connais tout entière
Et je te contemple à genoux ;
Mais autour de tant de lumière
Pourquoi tant d’ombre, ô sort jaloux ?
Dieu lui donna tout, hors l’aumône
Qu’il fait à tous dans sa bonté ;
Le ciel qui lui devait un trône
Lui refusa la liberté.
Oui, ton aile, que le bocage,
Que l’air joyeux réclame en vain,
Se brise aux barreaux d’une cage,
Pauvre grande âme, oiseau divin !
Bel ange, un joug te tient captive,
Cent préjugés sont ta prison,
Et ton attitude pensive,
Hélas, attriste ta maison.
Tu te sens prise par le monde
Qui t’épie, injuste et mauvais.
Dans ton amertume profonde
Souvent tu dis : si je pouvais !
Mais l’amour en secret te donne
Ce qu’il a de pur et de beau,
Et son invisible couronne,
Et son invisible flambeau !
Flambeau qui se cache à l’envie,
Qui luit, splendide et clandestin,
Et qui n’éclaire de la vie
Que l’intérieur du destin.
L’amour te donne, ô douce femme,
Ces plaisirs où rien n’est amer,
Et ces regards où toute l’âme
Apparaît dans un seul éclair,
Et le sourire, et la caresse,
L’entretien furtif et charmant,
Et la mélancolique ivresse
D’un ineffable épanchement,
Et les traits chéris d’un visage,
Ombre qu’on aime et qui vous suit,
Qu’on voit le jour dans le nuage,
Qu’on voit dans le rêve la nuit,
Et les extases solitaires,
Quand tous deux nous nous asseyons
Sous les rameaux pleins de mystères
Au fond des bois pleins de rayons ;
Purs transports que la foule ignore,
Et qui font qu’on a d’heureux jours
Tant qu’on peut espérer encore
Ce dont on se souvient toujours.
Va, sèche ton bel oeil qui pleure,
Ton sort n’est pas déshérité.
Ta part est encor la meilleure,
Ne te plains pas, ô ma beauté !
Ce qui manque est bien peu de chose
Quand on est au printemps vermeil,
Et quand on vit comme la rose
De parfums, d’ombre et de soleil.
Laisse donc, ô ma douce muse,
Sans le regretter un seul jour,
Ce que le destin te refuse
Pour ce que te donne l’amour !
…
Garde à jamais dans ta mémoire,
Garde toujours
Le beau roman, la belle histoire
De nos amours !
Moi, je vois tout dans ma pensée,
Tout à la fois !
La trace par ton pied laissée
Au fond des bois,
Les champs, les pelouses qui cachent
Nos verts sentiers,
Et ta robe blanche où s’attachent
Les églantiers,
Comme si ces fleurs amoureuses
Disaient tout bas :
- Te voilà ! nous sommes heureuses !
Ne t’en va pas !
Je vois la profonde ramée
Du bois charmant
Où nous rêvions, toi, bien aimée,
Moi, bien aimant ;
Où du refus tendre et farouche
J’étais vainqueur,
Où ma bouche cherchait ta bouche,
Ton coeur mon coeur !
Viens ! la saison n’est pas finie,
L’été renaît,
Cherchons la grotte rajeunie
Qui nous connaît ;
Là, le soir, à l’heure où tout penche,
Où Dieu bénit,
Où la feuille baise la branche,
L’aile le nid,
Tous ces objets saints qui nous virent
Dans nos beaux jours
Et qui, tout palpitants, soupirent
De nos amours,
Tous les chers hôtes du bois sombre
Pensifs et doux,
Avant de s’endormir, dans l’ombre,
Parlent de nous.
Là, le rouge-gorge et la grive
Dans leurs chansons,
Le liseron et, dans l’eau vive,
Les verts cressons,
La mouche aux ailes d’or qui passe,
L’onde et le vent,
Chuchotent sans cesse à voix basse
Ton nom charmant.
Jour et nuit, au soir, à l’aurore,
A tous moments,
Entre eux ils redisent encore
Nos doux serments.
Viens, dans l’antre où nous les jurâmes,
Nous reposer !
Viens ! nous échangerons nos âmes
Dans un baiser !
Je tombe toujours sur ce que je veux exprimer …je ne passe pas des heures a chercher…mes pensées me guident …toujours! et voila je suis tombée sur ce beau poème de VICTOR HUGO, en m’emportant avec cette belle mélodie .. c’est beau!
La série de mon adolescence …C’est fou ce que le temps passe…Tellement de choses qui ont change! …
J’essai de garder le meilleur de cette periode…! Si difficile…J’essai d’oublier avec le temps , mais on grandit avec…
…
ياللي بهواك
انا قلبي اختارك قلبي اختارك
وما سبت ادوة
اليوم راك معايا
وغدوة يدرا
دي حوال الدنيا
حوال الدنيا
حلوة و مرة
غير انت غير انت
اللي دخلت قلبي
غير انت غير انت غير انت
اللي ساكن قلبي
فـ حالي محيرني
ليلي سهرني
وعلاش عمري
حرام يا عمري تعذب فيّ
ربيع مايدوم
كل ورد يدبل
لحالي معدوم
حالي معدوم
ديرني في بالك
غير انت غير انت غير انت
اللي دخلت قلبي
غير انت غير انت غير انت
اللي ساكن قلبي